Cuba : une loi pour favoriser les investissements étrangers

Tour Hebdo :<br /><br /><br /><br />
Cuba : une loi pour favoriser les investissements étrangers

La loi sur les investissements touristiques étrangers à Cuba concerne tous les secteurs de l’économie et devrait donc bénéficier au tourisme. ©DR

Le Parlement cubain a adopté samedi une nouvelle loi sur les investissements étrangers, présentée par le président Raul Castro comme « cruciale » pour l’économie du pays.

Votée à l’unanimité des députés lors d’une session extraordinaire du Parlement, cette loi qui doit entrer en vigueur dans les 90 jours prévoit notamment un régime fiscal très souple pour les entreprises étrangères en dépit de l’embargo économique que les Etats-Unis imposent au pays depuis un demi-siècle, selon les informations partielles révélées ces derniers jours par les médias locaux.

Huit ans sans impôt sur les bénéfices

Les entreprises devraient ainsi être exemptées d’impôt sur les bénéfices pendant huit ans, avec prolongation possible. Une fois expirée la période d’exonération, les entreprises paieront un impôt de « 15% du bénéfice net imposable« , soit la moitié du taux actuellement en vigueur, affirmait cette semaine le quotidien officiel Juventud Rebelde.

Pour atteindre des taux de croissance annuelle de l’ordre de 6% à 8% comme le souhaite le régime, Cuba vise des hausses annuelles des investissements de 25% à 35%, contre seulement 4,4% en 2013, selon les chiffres diffusés par l’Office national des statistiques. Des ambitions qui nécessitent donc de faire appel aux investisseurs étrangers.

Mais une incertitude demeurait samedi sur la possibilité d’accueillir des entreprises à capital entièrement étranger, alors que l’immense majorité de la présence étrangère repose actuellement sur des coentreprises où la partie cubaine est majoritaire. Les entreprises étrangères ne seront en tout cas pas libres d’embaucher de manière directe et devront continuer de faire appel à une entreprise publique de gestion de personnel.

Source Tour Hebdo Avec AFP

Le Costa Verde Hotel : Une chambre dans un Boeing 727

Impressionnant ce Boeing 727 fuselage a été réhabilité en suites de luxe.

Encore plus surprenant, cet avion ne se trouve pas sur une piste d’atterrissage, mais est bel et bien niché à 50 pieds de hauteur dans un arbre, sur le bord d’un parc national dans la région du Costa Verde, faisant ainsi bénéficier les visiteurs d’un e vue splendide sur l’océan et sur la jungle qui l’entoure.

 

Définitivement l’hôtel le plus exclusif et insolite pour un voyage au Costa Rica, ce Boeing mérite le détour ! La décoration s’harmonise parfaitement à l’environnement naturel qui l’entoure. Le mobilier, en teck, y est sculpté à la main.

Les deux chambres sont grandes, élégantes et confortables, deux salles de bains privées, une grande terrasse avec vue panoramique pour profiter de cocktails aux côtés de voisins plutôt étranges : des paresseux et des singes ! première vue on pourrait croire qu’à la suite d’un crash en pleine forêt Costaricaine, l’équipe du Costa Verde Hotel en ait profité pour restaurer ce Boeing 727 pour en faire un hôtel. Fan de la série TV « Lost » modérez votre enthousiasme ! 

hôtel Costa Rica
L’équipe de promoteur a bien fait une restauration complète mais, à partir d’un ancien avion, un modèle de 1965, qui avait passé plusieurs décennies sur les lignes de la South AfricanAirways puis de la Columbia’s Avianca Airlines. Après son rachat, l’avion a d’abord été transporté jusqu’à San José où il a été démonté en cinq parties puis amené par camion jusqu’à sa destination finale : le Costa Verde Hotel.

L’avion est considéré comme une suite et se réserve comme tel. Il possède un balcon situé sur une des ailes, ce qui permet d’admirer la faune et la flore locale : toucans, singes, papillons, paresseux. Le coucher de soleil est, quant à lui, magnifique avec la vue sur la baie.

Aux commandes d’un Boeing 727 au Costa Rica !

Si vous n’aimez pas  prendre l’avion, à bord de celui-ci vous apprécierez, sans aucune turbulences, la vue panoramique sur  les eaux bleues de la baie de Manuel Antonio et sur la végétation luxuriante,  et ce confortablement installés dans votre belle suite en teck ! Sur l’aile  euh sur le balcon,  sirotez tranquillement votre cocktail tout en observant vos voisins…toucans, singes, papillons, paresseux… Le cockpit est à vous ! Pura Vida !

Ici, la terre touche le ciel à l’infini

Ici, la terre touche le ciel à l’infini
Aux portes d’Uyuni, en Bolivie, s’étend sur 12.000 km² le plus vaste désert de sel de la planète ! Un paysage tout blanc et craquelé où des petits monticules de sel surgissent de ci de là. Puis, le 4×4 s’enfonce, des cactus immenses se détachent dans le ciel bleu, arrêts sur image au bord des lagunes colorées passant du vert émeraude à ce pourpre qui se décolore sur les flamants, du noir de jais au blanc laiteux, le regard n’est arrêté que par quelques cônes volcaniques, ici la terre touche le ciel à l’infini. Au milieu de ce paysage couleur caramel, une centaine de marmites de toutes tailles, bouillonnent, sifflent et fument dans l’air glacé, des rochers semblent sculptés en forme d’arbres, la lave refroidie depuis bien longtemps a également laissé place à des formations géologiques curieuses. Le Salar de Uyuni est un monde magique de mirages et d’effets d’optiques qui envoûte le voyageur …

Le tourisme au Salvador de plus en plus sécurisé

Latinexperience est dans l’air du temps! Nous vous avions, sur un autre article, parlé de notre visite au Salvador à la recherche de nouveaux circuits. Aujourd’hui, le Ministère des Affaires Étrangères en parle:

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Une partie significative du El Salvador est déclaré par le ministère des affaires étrangers français comme en vigilance renforcée et non plus déconseillé. L´alerte passe de l´orange au jaune:

“Par ailleurs, les autorités locales font de réels efforts pour sécuriser les sites touristiques, notamment par la police touristique (POLITUR), de manière permanente en certains lieux (complexe des volcans, par exemple), ou sur demande, comme dans le cadre d’une visite du centre historique de la capitale. Certaines municipalités mettent volontiers des agents des corps municipaux à disposition des visiteurs ou des randonneurs (CAM, équivalent de notre police municipale). Dans ces conditions, il est possible de réaliser un voyage au Salvador, dans les seules zones qui figurent en jaune sur la carte de la présente fiche, et à la condition d’y observer strictement les mesures de prudence décrites plus bas” http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/conseils-aux-voyageurs/conseils-par-pays/salvador-12354/

Voir l’article du Monde: http://voyages.blog.lemonde.fr/2015/01/06/souriez-vous-etes-au-salvador/


Récit de vacances en Bolivie à Salar d’Uyuni et Sud Lipez

De retour de notre voyage en Bolivie, après quelques jours au Pérou, nous voulons vraiment vous remercier Sandra pour avoir parfaitement répondu à nos attentes. Le choix des hôtels, le circuit personnalisé et vos contacts locaux ont contribué à rendre ce voyage inoubliable. Les marchés, la magie des lagunes du sud Lipez et bien sûr le Salar d’Uyuni resteront des moments forts de ce voyage. D.

Bolivie - Salar de Uyuni

Bolivie - Sud lipez

 

Retour d’Amazonie Pérou, Colombie et Brésil

Nous rêvions depuis longtemps de réaliser la descente de l’Amazone,

mais aucune agence (française ou péruvienne) ne souhaitait s’engager dans la préparation d’un voyage aussi atypique. Seule Latinexpérience a accepté de tenter l’aventure.

Que ce soit à Iquitos, avec le Selva Viva, à Santa-Rosa/Tabatinga à la frontière du Pérou et du Brésil, ou à Manaus, toujours nous avons été accueillis avec un très grand professionnalisme, et les quelques petits problèmes que nous avons pu rencontrer ont été résolus au plus vite par nos correspondants. Encore un grand Bravo à Sandra et à ses correspondants pour un travail qui de France semblait irréalisable.

Ce voyage en Amazonie était scindé en trois parties : Iquitos et la croisière Selva Viva, le trek au Palmari Lodge à la frontière Brésilienne puis le cargo jusqu’à l’arrivée à Manaus, et enfin le repos au lodge Anavilhanas. Chaque étape et chaque transfert a été l’occasion de se plonger dans un autre monde, une autre culture.

  Amazonie

Amazonie

Certes le climat est assez difficile, forte humidité associée à une forte chaleur, mais c’est une expérience unique, et l’occasion de découvrir une flore et une faune incroyable, l’occasion de devenir un explorateur en toute sécurité. A chaque étape, les guides qui nous accueillent sont des locaux ayant toujours vécu dans cet environnement et donc capables de vous expliquer tout ce que vous souhaitez savoir. Notre voyage avait un côté un peu aventureux, c’est pourquoi jusqu’à notre arrivée à Manaus nous avons privilégié un mode d’hébergement plus proche du camping que de l’hôtel de luxe et des modes de transport locaux, même si pour la partie cargo entre Tabatinga et Manaus, nous avions demandé à bénéficier d’une cabine, ce que nous ne regrettons pas.

 

Amazonie

A Manaus, afin de récupérer un peu de cette aventure, nous avons choisi de loger au Anavilhanas lodge, un superbe lodge, que nous avons découvert du ciel grâce à une arrivée en hydravion. Là tout est fait pour que vous sous sentiez bien, les activités sont nombreuses et bien organisées, pas de moustique grâce au Rio Negro, et un bungalow particulièrement agréable. L’occasion de découvrir ou de poser des questions sur l’Amazonie que vous n’auriez pas encore pu poser, mais aussi l’occasion de voir enfin de près les fameux dauphins roses que nous avons si souvent croisés, mais jamais pu photographier.

Amazonie

Pour la partie trek au Palmari, il est important d’être en bonne condition physique pour supporter les marches de plusieurs jours dans la forêt. Ici les treks se font en autonomie complète ; mais quelle expérience ! D’ailleurs nous n’avons qu’une envie y retourner, en associant cette fois le Pérou plus classique (Cusco et le Machu Pichu) mais aussi et surtout l’Amazonie péruvienne du sud du pays.

Il est sur maintenant que nous repasserons par Latinexpérience qui a su si bien répondre à nos demandes.

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Nous rêvions depuis longtemps de réaliser la descente de l’#Amazone, mais aucune agence (française ou péruvienne) ne…

Posté par Latinexperience.fr sur jeudi 26 février 2015

Aéroport à Cuba : Les russes veulent bâtir un aéroport géant

La Russie cherche à susciter un partenariat avec les Emirats arabes unis pour la construction d’un aéroport géant à Cuba, envisagé comme une plate-forme internationale pour l’Amérique latine, a rapporté mercredi le quotidien The National d’Abu Dhabi, cité par l’AFP.

Voygage Cuba

Le journal, citant le ministre russe du Commerce et de l’Industrie, Denis Manturov, fait état de discussions à ce sujet entre la Russie et Mubadala, organisme public financier chargé de diversifier l’économie d’Abu Dhabi. Le ministre russe est en visite aux Emirats arabes unis où il participe au salon de l’armement Idex, organisé à Abu Dhabi. Il a indiqué au quotidien que son pays envisageait d’investir au moins 200 millions de dollars dans le projet. Selon lui, Cuba pense à convertir une base militaire en une plate-forme aérienne pour l’Amérique latine, alors que l’île est en train de normaliser ses relations avec les Etats-Unis après un demi-siècle d’embargo américain. (Avec AFP)

Campeche et son Ancienne cité maya Calakmul

La cité de Calakmul à Campeche : Ancienne cité maya et forêts tropicales protégée

Le site a été classé Patrimoine Mondial de l’Humanité par l’UNESCO. Ce bien est situé dans le secteur de Campeche au centre sud de la péninsule du Yucatan, dans le sud du Mexique, et comprend les vestiges de l’importante ville maya de Calakmul, située dans les profondeurs de la forêt tropicale des Tierras Bajas.

La ville, qui a joué un rôle clé dans l’histoire de la région pendant plus de douze siècles, se caractérise par des structures admirablement conservées qui offrent une image parlante de la vie dans une ancienne capitale maya. Le bien est aussi le troisième haut lieu de biodiversité du monde par sa taille. Il recouvre tous les écosystèmes subtropicaux et tropicaux du Mexique central jusqu’au canal de Panama.

C’est le second plus grand « poumon » naturel du continent et la plus large réserve écologique tropicale du Mexique avec une superficie de 723 185 hectares. La réserve abrite 86 espèces de mammifères (jaguar, puma, ocelot, oncille et jaguar ondi, fourmilier, singe araignée, singe hurleur, tapir…), mais aussi quelques 282 espèces d’oiseaux, 50 espèces de reptiles, 400 espèces de papillons et 73 types d’orchidées sauvages.

Echos du monde
Présenté par Marie Mamgioglou

La Mission Potosi

Nous sommes très flattés d’avoir été contactés par la prestigieuse école l’ESSEC dans le cadre de leur association loi 1901  la « Mission Potosi » et d’avoir pu mettre en place un partenariat Essec/Latinexperience à l’occasion du Salon Mondial du Tourisme 2015 où nous serons exposants pour la 3ème année consécutive. La Mission Potosi a pour objectif de venir en aide aux enfants des mineurs et à leurs familles et de leur trouver des alternatives au travail dans les mines, tout cela dans des projets à développement durable et dans différents domaines: éducation, santé, microcrédit, infrastructures, accompagnement social, activités récréatives.  Pendant le Salon, l ‘Essec nous associe pour une collecte de fonds via une Tombola caritative dont l’intégralité des gains sera reversée à la Mission Potosi et nous attendons vos participations nombreuses. De plus, un superbe voyage en Bolivie / Pérou est à gagner !